Le Palais du Shu

Liu Yan entra dans le hall du palais,une magnifique piéce avec boiseries,meubles en or,Tableaux,....Il suivit le soldat jusqu'a une petite salle d'attente.La piéce comportait plusieurs fauteuils et moyens de distraction,échecs, livres,....

"Maître Liu Beï va bientôt arriver,veuillez attendre ici"

Liu yan retira sa cape de voyageur,dévoilant une tenue noire et grise, avec une ceinture surplomée de 4 courtes épées, et de kunaï en tout genre.Il y avait également une bourse contenant les 84 Y du jour, maigre revenue.De quoi se payer un repas chaud a la Taverne du coin --"

Yan s'asseya et attendit son cousin

Liu Bei arriva dans la salle ou l'attendais son cousin :
"Bonjour, cousin Yan, je suis ravi de vous voir ici après votre longue absence de nombreuse chose ce sont passer plus important l'invasion d'Orochi mais je pense que vous avez pus le constater, ses armées son partout dans le pays mais bref de bavardage".
Liu Bei lui fit signe de le suivre dans une pièce plus grande que la salle d'attente.
"Une question me rode dans la tête, pourquoi est tu revenue ici, es que tu va rester pour de bons?"
Liu bei attendit une réponse de Liu Yan.

Son cousin arriva deux minutes aprés

"Bonjour, cousin Yan, je suis ravi de vous voir ici après votre longue absence de nombreuse chose ce sont passer plus important l'invasion d'Orochi mais je pense que vous avez pus le constater, ses armées son partout dans le pays mais bref de bavardage".

Yan suivit son cousin dans une salle plus grande

"Une question me rode dans la tête, pourquoi est tu revenue ici, es que tu va rester pour de bons?"

"En entendant la rumeur comme quoi un Dieu et son armée attaquait tout le monde, j'ai tout de suite penser à vous, et je suis revenue.Mais je vois que vous avez bien résistè.Avec ta persmission, j'aimerais rester ici jusqu'a ce que les choses s'arrangent a Cheng Du, on ne sait jamais, Orochi pourrait re-attaqué.En cas de probléme, comptez sur moi, je serais toujours là.Ensuite, dés que le Shu sera hors de dangers , je proposerais mes services en tant que Mercenaire aux autres royaumes, faut bien gagner sa vie "

Un petit sourire monta au lèvres de Liu Bei :
"Je te reconnais bien la cousin, tu est le bienvenue ici car toute hommes voulant défendre le Shu est le bienvenue, je te fais préparé une chambre dans le palais"
Liu bei appela un serviteur et lui dit de préparé la chambre de Liu Yan.

Son cousin souria:

"Je te reconnais bien la cousin, tu est le bienvenue ici car toute hommes voulant défendre le Shu est le bienvenue, je te fais préparé une chambre dans le palais"

"Merci, cousin Beï, le voyage m'a épuisé.demain je patrouillerais dans les fôret a côtés du chateau, j'ai éliminé 3 serpent la-bas.Bonne nuit"

Liu Yan se leva et suivit le serviteur au 1er étage.Il entra dans sa chambre, ferma sa porte a clés et se coucha directement.

*Content de les voir tous en vie....*

Liu Yan s'endormit rapidement

Mitsumura arriva au palais du Seigneur Lui Bei, il descendit de cheval, et se dirigea à l'entrée, les gardes le laissèrent passer, Mitsumura se dirigea vers la salle du tône, pui il entra et posa un genoux à terre.

"Seigneur Lui Bei, je vient faire mon rapport."

Mitsumura fit une pause puis reprit.

"Mes éclaireurs ont confirmer, que l'armée Orochis c'est éloigner de Cheng Du, mais ils aurait installer un camp fortifier, non loin d'ici, j'ai ordonner à mes lieutenants de m'informer de leurs moindres fait et gestes."

Mitsumura attendit une réponse du Seingeur Lui Bei.

Liu Bei réfléchis un petit moment avant de répondre :
"Hum, excellent travail Mitsumura Sanada, nous devons pas nous précipiter, il faut les surveiller, je vous ordonne de les surveiller et de me prévenir du moindre mouvement ennemie compris?"
Liu Bei attendit la réponse.

Mitsumura écouta les paroles de Lui Bei, puis il répondit.

"à vos ordres mon seigneur."

Mitsumura se leva, tourna le dos à Lui Bei et quitta la salle du trône pour rejoindre son camp.

Karen Kozuki était arrivée dans le palais elle trouva le seigneur Liu Bei, toujours assis sur le trône. Elle s’approcha de celui-ci, attirant ainsi l’attention des gardes qui placèrent leurs lances devant elle.

« Ne vous approchez pas plus ! »

« … Ah oui, c’est vrai, nous ne pouvons pas nous approcher trop près du Seigneur Liu Bei… »

Elle recula alors, les gardes se calmèrent, Kozuki Karen alors, annonça :

« Seigneur Liu Bei, mon ancien seigneur, Nobunaga Oda, est en train de repousser les forces Orochiennes, ils nous faut les aider ! Long blanc. Si nous l’aidons, il rejoindra notre union, agrandissant nos forces, pour mieux éliminer nos ennemis, ainsi, nous n’aurons pas a prendre son armée, si nous réussissons, Orochi, sera bientôt vaincu, il ne restera plus qu’a ‘rallier’ le Wei, et ce sera bon… Je compte sur vous pour faire le bon choix. »

Elle s’agenouilla et attendit sa réponse…

"Garde laissé la passer, elle fais partie de mes généraux, c'est une des dernières recru de choix du shu".
Liu bei écouta l'histoire de Karen Kozuki et lui répondit :
"Humm, si nous l'aidons, il se ralliera a ma cause, alors ma réponse et oui, vous avez carte blanche".
Avant de partir il lui dit :
"Revenez vivant et victorieuse".
Il lui fit un sourire et partie.

Le lendemain...

Elle s’était réveillée, enfin. Elle s’habilla rapidement et déjeuna, elle vit alors une affiche :

Il y a quelques jours, a eu lieu la déclaration internationale de l’alliance de la Résistance ! Pour finaliser cette alliance, l’Impératrice du Wu : Sun Mei viendra personnellement a la Capitale Cheng Du, parler a L’impératrice Sun Shang Xiang et l’Empereur Liu Bei, préparé donc la capitale…

« Ah » s’écria-t-elle, un peu perdue. « Je crois que mon voyage va être décalé… »

Inutile de dire qu’elle était un peu … Comment dire … Pleine de Sagesse pour ne pas être vulgaire. Elle regarda alors les alentours, et cria encore, devant plusieurs officiers, prêt à s’agenouiller…

" Eh ben, faudrait pas que Mei soit la, je ne me suis pas préparé… "

Un petit égosillement de voix se fit entendre de derrière elle… Comme dans plusieurs livres, une grosse goute sur elle, la honte quoi…

" Humum "

Un petit « Nya » se fit entendre de Karen, alors elle, déchiré regarda derrière et vit une femme, vêtue d’une longue cape brodée d’or et de Plumes Egyptiennes, bah oui, j’aime bien la description… Sérieusement, elle s’agenouilla et lança :

" Désolé, je… Non, je n’ai aucune excuse... "

Un peu proche de l’Impératrice, elle se fit « dégager », elle recula, ou plutôt elle se fit reculer, avec les autres officiers qui eux, pouffèrent de rire. L’impératrice alors déclara :

---
Je te laisse l'ordi frérot, je voulais juste poster ça ^^

" Cessez de rire, ou vous viendrez à mon cachot, au palais ! "

Silence générale. Elle s’approcha, un cri se fit entendre, c’était Sun Shang Xiang, elle se « jeta » sur Sun Mei, avant de déclarer…

" Grande sœur ! Enfin, on t’attendait, suis moi donc ! "

Sun Shang Xiang, malgré les protestations des gardes la mena vers le palais, avant de s’engouffrer dans une cave et dit a sa sœur :

" La rumeur est donc vrai ? "

Un petit rictus, sur le visage de Sun Mei.

" Ou va donc la famille Sun ? "

Un gros rictus, puis, Mei pris la parole :

" Nous ? Mais c’est simple ma chère sœur, un ton plaisantin, nous, nous allons vers la gloire, toi, tu restes avec cet homme, charismatique, bon, un très bon dirigeant, mais, tu devrais prendre plus d’importance ! La, on dirait que tu souhaites rester une femme de ménage… "

Sun Shang Xiang, quitta la cave, suivit de Sun Mei, elles arrivèrent vers le palais. Un messager pressés, bouscula Sun Mei, qui eu le mauvais réflexe de l’envoyer au sol. Une petite fille se déplaça vers Sun Mei et lui dit :

" Ma Tante, vous allez bien ? "

Regardant le « cadavre », avec une expression de honte elle dit enfin :

" Vous n’étiez pas obligés d’y aller relativement fort, euhm… Sérieusement, le Seigneur Liu Bei nous attends, dépêchons nous donc… "

Cinq bonnes minutes dans ce labyrinthe lui permettront d’accéder la bas. Elle vit alors l’Empereur, assis sur le trône, à coté, Zhuge Liang et Pang Tong, Ma Chao était assis dans son coin, elle lui fit un court regard.

" Seigneur Liu Bei, la fille de l’ancien Empereur du Wu Sun Ce, Sun Shi… Voudrez vous parlez… "

Elle dégoupilla sa salive… Nya, elle était contente…

" Monsieur l’Empereur, je viens de savoir, par les éclaireurs que… Sun Ce et Sun Jian sont vivants ! Et… Je voudrais demander une récupération… Les récupérer, ils sont avec Orochi, prêt à reprendre le Wu… Aujourd’hui, notre alliance, sera bientôt à son summum. Ainsi, Orochi croulera, le seul problème, c’est celui-ci : Le Wei, que devons nous faire d’eux ? Avec Kyoto à Nobunaga, Omi et Kai à Shingen Takeda, la région du Kantô sera à nous, permettant la chute d’Orochi… Non ? "

Elle ouvra la bouche, prête à continuer sa tirade, quand Kozuki Karen, maintenant sous son armure doré, marcher, faisant raisonner la salle.

" L’ennui avec eux, c’est qu’un jour ils peuvent être tes meilleurs amis et le lendemain, être ton pire ennemi alors…
Laissant tout le monde la regarder avec de drôles d’yeux, elle dit enfin : Il ne faudrait pas qu’il rejoigne l’alliance, mais que leurs soldats rejoignent l’alliance, donc, nous devrions prendre leurs terres et leurs armées, on prendra le Japon, et finiront Orochi, c’est le meilleur plan. "

---

Merci merci, maintenant, a toi Liu Bei ^^

Citation :

" Monsieur l’Empereur, je viens de savoir, par les éclaireurs que… Sun Ce et Sun Jian sont vivants ! Et… Je voudrais demander une récupération… Les récupérer, ils sont avec Orochi, prêt à reprendre le Wu… Aujourd’hui, notre alliance, sera bientôt à son summum. Ainsi, Orochi croulera, le seul problème, c’est celui-ci : Le Wei, que devons nous faire d’eux ? Avec Kyoto à Nobunaga, Omi et Kai à Shingen Takeda, la région du Kantô sera à nous, permettant la chute d’Orochi… Non ? "

Elle ouvra la bouche, prête à continuer sa tirade, quand Kozuki Karen, maintenant sous son armure doré, marcher, faisant raisonner la salle.

" L’ennui avec eux, c’est qu’un jour ils peuvent être tes meilleurs amis et le lendemain, être ton pire ennemi alors…
Laissant tout le monde la regarder avec de drôles d’yeux, elle dit enfin : Il ne faudrait pas qu’il rejoigne l’alliance, mais que leurs soldats rejoignent l’alliance, donc, nous devrions prendre leurs terres et leurs armées, on prendra le Japon, et finiront Orochi, c’est le meilleur plan. "

Un silence, comme celui que Karen aimé…

" Sun Shi, vous voulez récupérer vôtre père n’est-ce pas ?"

Petit blanc.

"Oui… C’est d’une importance capitale !"

Rien ne se fit entendre, puis Karen marcha et atteignit le rang de Liu Bei, elle s’assit devant lui et lui chuchota :

" Ah oui… Il est vrai que Mei accepterai ceci… Elle ne peut pas aimer les Sun, ce n’est pas normal si elle est ici."

Long blanc, comme ci il ne s’attendait pas a cette phrase.

" Finalement, nous allons ramener les Sun…"

(Merci a Sun mei)

Mouais, fallait le savoir, Liu Bei qui les aide, logiquement logique... Moyennement satisfaite, elle quitta la salle, bousculant un officier, qui elle ne dit rien. Karen regarda Sun Mei, toujours la classe, elle. En effet, toujours habillé avec des vêtements coutant au moins trente milles Yens. On va pas le lui reprocher, enfin je crois... Elle, la, regarda la sortie, fallait qu'elle fasse quelque chose, elle regarda les autres et sortit de la salle. Comme d'habitude elle fixa la porte et sortit, dehors, c'était comme avant toujours la même atmosphère, tout le monde qui attendait le verdict...

On va pas les embêter après tout, ces démocrates, les sénateurs, même les gouverneurs, tous a vouloir savoir a l'avance, Karen en avait marre, son voyage ne sera pas décalé, elle ira au Japon, point barre. Elle regarda un enfant qui pleurait, elle s'approcha, toujours dans son armure doré, en même temps, faudrait être fort pour s'habiller aussi vite... Donc, elle s'approcha et mis sa main sur ses cheveux, elle sécha les larmes de l'enfant, elle lui donna un petit mouchoir, alors, l'enfant, le pris, et arrêta de pleurer. Karen, aller s'en aller quand, elle demanda a l'enfant :

" Comment t'appelles-tu ? Pourquoi pleures-tu ? "

Aucune réponse, l'enfant s'en alla, Karen aussi s'en alla, elle se mit a courir pour atteindre l'autre bout de la ville, après tut, il lui fallait un port, elle prit son cheval a l'écurie et détacha sa selle, elle se mit dessus et lui dit d'aller aussi vite que possible, elle appela ses soldats, a coté de l'écurie, elle allait au port, direction Japon ! Finalement, ce n’était pas si mal, mais, elle voulait profiter du plein air, elle était comme submergée par ses émotions, besoin de liberté... Oui, elle allait au Japon, elle ne sera pas resté longtemps au Shu penser t'elle, non, elle allait déjà retrouver son maitre...

Elle était elle même, elle regarda les tavernes et auberge, elle se souvenait de Nobunaga Oda, un leader qu'on ne peut servir qu'une fois, mais bon, on comprendra, elle était envoyé la bas, elle reviendra vivante et victorieuse, enfin... Qui peut savoir ce qui va se passer là-bas ? Elle retrouva sûrement ses parents la bas, toujours a Kyoto, sûrement. Elle se souvenait que tout ce qu'elle voulait était là-bas, Orochi, un autre fou qui se prend pour un dieu. Elle était quand même émerveillée de retrouver le Japon, elle était dans la Lune, tellement qu'elle se cogna sur une personne...

" Whoaa... ! "

Elle tomba de son cheval, un peu somnolente, elle se releva et regarda le garçon...

" Qui es-tu ? "

Ce n'était pas le garçon de tout a l'heure évidemment...

" Que... Quoi ? "

Un cheval le percuta...

" Qui es-tu ? "

Il se releva, le dos courbé et lui dit :

" Mon nom est ... "

Alors, Karen, après l'avoir écouté, le fit monter sur son cheval, ils allaient au Japon a deux...

---

Suspense, et flemme de de faire un plus gros RP ><...

Liu Bei accompagné de ses 2 frères d'arme arrivèrent devans la porte du palais et vit son général Karen Kozuki. Sachant qu'elle allais partir pour le Japon, il avancèrent vers elle et lui dit :
"Voyez moi et mes frères allons nous occuper des bandit qui menace nos terre a l'est de Cheng Du et vous vous allez au Japon"...
Un vent froid s'installa entre les 4 hommes (une femmes je sais^^) puis Liu bei se retourna avec Hexagone et commonca a partir vers le camps puis s'arrêta :
"Karen je vous ordonne de revenir sain et sauf et d'avoir accomplie votre mission, des votre retour j'organiserais un banquet pour feter votre retour."
Puis Liu bei avec un sourire au lèvre partirent vers son camps.

Liu Bei et le messager du wei arriva dans la salle du palais. Liu Bei donna son arme a un de ces soldats et dit a un autre d'apportais a manger au messager :
"Mangé donc au temps que vous le voulais car pour l'empereur du Shu un messager n'est pas un ennemie et je me dois de le traité de bonne façon mais avant lisais moi le message s'il vous plait ensuite après avoir mangé mes hommes vous ramènerons a la frontière et ne vous inquiétais pas je vous donnerais ce qui faut pour le voyage..."
Liu Bei attends la lecture du messager.

Le messager, qui n'avait jusque-là montré aucun signe de sympathie, fut surpris par l'hospitalité de Liu Bei et afficha un léger sourire. Cependant, celui-ci suffisait à dévoiler une grande satisfaction. Liu Bei, qui pourtant était empereur, s'était montré si courtois et poli envers ce simple soldat. Avec beaucoup de calme et la plus admirable aisance qui soit, il sortit une missive et la lut à voix haute, même si Liu Bei pouvait garder le contenu de la lettre pour lui-même.
"Cher empereur Liu Bei du Shu. J'ai ici, à Chang An, des personnes qui devraient certainement vous intéresser. Je vous annonce que Xi Liang a été prise. Nous n'avons pas eu le choix. Cette ville constituait pour nous une trop grande menace pour que nous puissions la laisser sous le contrôle d'un royaume ennemi. Elle est maintenant protégée, ainsi que les toutes les villes du royaume du Wei. Inutile donc d'essayer, comme maître Xun Yu, de nous reprendre discrètement cette ville. Chaque chemin est gardé par de très nombreux soldats prêts à nous informer de la moindre attaque, que ce soit n'importe où dans le royaume du Wei. Voilà pourquoi vous ne pourrez pas nous encercler, comme nous l'avons fait pour Xi Liang, très isolée. Vous vous en doutez sûrement, je détiens certains de vos officiers et je désirerais faire un échange. Tout d'abord, je veux, en échange de tous les officiers excepté ceux de la famille Ma, 3 000 soldats. Mais pas n'importe lesquels ! Vous souvenez-vous des déserteurs qui avaient quitté les rangs du Wei pour rejoindre le Shu peu avant la bataille de Cheng Du ? Ils étaient exactement 3 000. Nous avons l'identité de chacun d'eux et les désirons vivants ! Pour chaque soldat manquant, qu'il soit mort de maladie, au combat, tué ou autre, j'en veux dix pour le remplacer et refuse de négocier sur ce propos. Quant à Ma Teng, Ma Tie et Ma Xiu, je ne les libérerai qu'à une seule condition. Demandez-la donc au messager, s'il n'est pas déjà mort. Vous obtiendrez peut-être la réponse s'il a envie de vous répondre. Cao Zhang, empereur du Wei."
Le messager acheva le lecture et déclara d'uin ton pacifique à Liu Bei :
"Vu la façon dont vous m'avez traité, j'accepte tout à fait de vous dévoiler cette condition."

Liu Bei après avoir entendu les paroles du messager tomba sur son trône avec un visage stupéfié et pensif lorsque soudain Zhang Fei qui avais assister a la scène commença a hurlé sur le messager :
"Vous vous foutez de nous, jamais nous accepterons un tels accord avec le Wei jamais, votre empereur fais un affront au mien et pour cela je vais vous tué".
Zhang Fei se prépara a tué le messager lorsque Liu Bei repris ses esprit :
"Frère arrête toute suite, se messager n'est en rien fautif de la décision de Cao Rui alors laisse le."
Zhang Fei arrêta juste a temps et commença a boudé dans son coin.
Liu Bei pensa : je ne peux pas leur livré les quelques 2000 soldats restant car ceci sont livré a moi et les échangé contre mes officiers serais un signe de contre vertu, mais je ne peux pas laissé mes officier la bas. Que faire si seulement Zhuge Liang été encore la. Je suis sur que si je livre ses 2000 soldats, il les tuerons comme traitre et je ne peux me résoudre a faire sa. Je pense avoir une idée.
"Noble messager voici la réponse que vous allez donner a votre empereur, je le fais noté sur papier.(je la donnerais après, elle est toute prête faut juste attendre la condition.), mais d'abord quelle est cette condition pour Ma Teng, Ma Tie et Ma Xiu,??"
Liu Bei attendit la réponse du messager.

Un messager était arrivé, il contenait une missive, il montra la lettre aux gardes et put passer, il remarqua un messager du Wei...

" Seigneur Liu Bei, Notre Chère Impératrice Sun Mei Vous A Envoyé Un Message... "

Distrait par le messager du Wei, il s'approcha tout de même, et salua (la paume de la main gauche tenant la mai droite, la tête baisser) les généraux présent.

HJ : Petit, j'ai pas trop le temps ^^

Le messager venu du Wu été arrivé dans la salle du trône :
"Hum l'impératrice du Wu aurai telle des ennuis, lisez moi ce message, cela fais beaucoup de messages pour aujourd'hui".
Liu Bei attendit la lecture du messager.

Le messager regarda celui du Wei. Puis il regarda Liu Bei.

" - Dois-je la lire en présence d'un intrus ? "

Il donna juste la missive à Liu Bei.

Contenu de la lettre :

Spoiler:

"'(penser de liu bei) Pour garder notre alliance, je vais y aller avec mon armée et mon stratège Fa Zheng, comme sa nous gagnerons 15 000 soldats ce qui nous permettras de mettre mon plan en action".
"Messager je vous accompagne avec mon armé." Il pris son arme et partie vers l'écurie.
"Fa Zheng vous m'accompagnai dans cette compagne. J'aurais besoin de vos stratégie."
L'armé quitte Cheng Du et commenca a partir vers Jiang Xia.

Le messager du Wei, alors qu'il s'apprêtait à parler, fut violemment agressé par Zhang Fei. Un messager de Sun Mei arriva ensuite. Liu Bei regarda le messager du Wei pour obtenir une réponse, mais celui-ci pesta :
"Tout d'abord, j'ai déclaré Cao Zhang. Mais n'attendez plus rien de moi ! Plutôt mourir qu'être ainsi humilié ! J'exige des excuses de cet homme que vous appelez 'frère'. Je ne parlerai pas sans les obtenir."

Liu Bei qui été sur le point de partir, eu droit a un caprice de la part du messager du wei :
"Tout d'abord, j'ai déclaré Cao Zhang. Mais n'attendez plus rien de moi ! Plutôt mourir qu'être ainsi humilié ! J'exige des excuses de cet homme que vous appelez 'frère'. Je ne parlerai pas sans les obtenir.".
"Je me prie de l'excuser, Zhang Fei excuse toi au prêt de ce messager, se n'est pas le moment pour sa".
"Excuse moi frère tu as raison. Je vous prie de m'excuser." (dégouté)
"Voila qui est fais. Maintenant je vous prie donc de me dire la suite."
Liu Bei attendit la suite.

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