Un vieil homme vêtut de blanc arriva à l'horizon du palais du shu cet homme connaissait bien les lieux pour la simple et bonne raison qu'il y avait déjà été sous les ordres de Liu Bei. Le vieil homme n'était autre que Zhuge liang quand on dit vieux, il n'est pas si vieux que ça certe peut être plus que la plupart des soldats de la nouvelle armée du shu mais ce n'est pas une raison de le descendre pour cela il a garder de très bon réflexe. Cependant, les nouveaux garde du palais le prire comme un espion et le fouillèrent trouvant des éventails de plumes blanche l'arme de prédiliction de zhuge liang la seule réponse que le garde eut trouvé c'était une question par rapport à la trouvaille de cet objet et sans attendre la réponse ce dernier attaqua zhuge liang sans attendre le prenant pour un espion. Zhuge liang ne pouvait que se défendre en créant devant lui un mur magique protecteur à l'aide de sceau chinois sacré. L'autre soldat l'accompagnant attaqua à son tour. Zhugeliang le calla entre deux soldats de pierre et dit alors.
"Vous ne faites pas vos malin bandes d'êtres chétifs, premièrements vous ne valez rien face à mes stratégie et seconde chose si vous me faites du mal vous devrez sans doute compter sur la colère de votre empereur, allez immédiatement le prévenir que zhuge liang est de retour au cheng du et qu'il l'attend devant les portes du palais."
Zhuge liang remonta à cheval alors que les deux soldats de l'entrée allèrent faire leurs rapport à Liu Bei, Zhuge liang fut pris d'un doute toutefois.
*Liu Bei les croira t il cela fait tellement longtemps que je suis partit pourquoi s'attendrait il à mon retour aujourd'hui, enfin avec les nouvelles force d'orochi on risque d'avoir besoin de toutes les forces nécessaires.*
Le cheval de Zhugeliang commençait à s'énerver, il n'avait pas reçut à manger depuis longtemps, aussi ce dernier le conduisit il à l'écurie extérieure du palais le cheval ne se fit pas attendre et fonça alors sur la paille se toruvant à l'endroit habituelle.
*Voila des choses qui n'ont guère changée, à quoi ressembles tu aujourd'hui mon empereur.*